Cher président Harrison et membres du DNC, je connais bien certains d’entre vous. Certains d’entre vous font partie de mes plus vieux amis. D’autres d’entre vous, je n’en ai jamais rencontré. Mais vous êtes tous ma famille, en tant que fonctionnaires et compatriotes américains. Les familles se disent la vérité, du mieux qu’elles peuvent, avec grâce, avec amour et surtout avec franchise. Lorsque nous prenons de mauvais chemins ou que nous ne parvenons pas à être à la hauteur de nous-mêmes, il est de la responsabilité de notre famille de nous tendre un miroir et de nous rappeler notre véritable objectif et notre plus haute expression de soi. C’est pourquoi je me sens obligé de vous écrire maintenant, car à mon avis, aussi limité que cela puisse être…